vendredi, novembre 28, 2014

vendredi, novembre 21, 2014

Bastia : une policière se suicide sur son lieu de travail

Une capitaine de la police judiciaire âgée d'une cinquantaine d'années s'est suicidée jeudi matin dans son bureau, à Bastia.
Mère de deux enfants, elle s'est tiré une balle dans la tête avec l'arme de service d'un de ses collègues, dans les locaux du commissariat en Corse.
En poste à Bastia depuis plusieurs années, elle travaillait au service documentation de la police judiciaire.


Lien :
Une capitaine de police se suicide à Bastia dans son commissariat

Sur le même sujet :
Saint-Germain-en-Laye : une policière se suicide
Bergerac : un policier de 20 ans se suicide
Paris : un policier se suicide avec son arme de service
Belfort : un gendarme s'immole devant le tribunal
Saint-Amand-Monrond : un gendarme se suicide
Drôme : un policier s'immole dans sa voiture
Seine-et-Marne : suicide d'un adjudant de gendarmerie
Haute-Corse : un gendarme se suicide

jeudi, novembre 20, 2014

Saint-Egrève : poursuite du médecin ayant laissé fuir un schizophrène

""
La cour d'appel de Grenoble a ordonné hier le renvoi en correctionnelle du centre hospitalier de Saint-Egrève (38) et d'un médecin après la mort d'un étudiant qui avait été poignardé par un schizophrène.
Jean-Pierre Guillaud, avait mortellement poignardé Luc Meunier, 26 ans, à Grenoble, après s'être échappé de l'hôpital psychiatrique.
Le 9 avril 2013, le juge d'instruction avait rendu une ordonnance de non-lieu pour l'ensemble des mis en cause mais la famille Meunier avait fait appel de cette décision.
Lien :
Schizophrène meurtrier : son médecin poursuivi pour homicide involontaire

mercredi, novembre 19, 2014

Un deuxième français parmi les bourreaux de l'EI


Un deuxième français a été identifié par des spécialistes sur la vidéo de l'exécution de 19 otages de l'État islamique, dont Peter Kassig.
Originaire de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), Mickaël Dos Santos, 22 ans, a été identifié comme le deuxième français figurant sur la vidéo .
Il y aurait 1 132 Français impliqués dans une filière djihadiste en Irak et en Syrie, parmi lesquels 376 ont effectivement rejoint les zones de combats.
Lien :
Un deuxième djihadiste français identifié sur la vidéo de l'EI

Sur le même sujet :
Au moins un français parmi les bourreaux de Peter Kassig
l'Etat Islamique revendique la décapitation de Peter Kassig
l'Etat Islamique revendique la décapitation de Alan Henning
Algérie : un Français kidnappé et menacé de mort par l'EI
un troisième otage décapité par l'Etat Islamique
l'Etat Islamique revendique la décapitation de Steven Sotloff !

lundi, novembre 17, 2014

Au moins un français parmi les bourreaux de Peter Kassig


Maxime Hauchard, un français de 22 ans, a été identifié par des spécialistes sur la vidéo de l'exécution de 19 otages de l'État islamique, dont Peter Kassig.
Originaire de Bosc-Roger-en-Roumois, près de Rouen, Maxime, alias Abou Abdallah Al Faransi ("le Français"), se serait converti à l'Islam à l'âge de 17 ans.
Il aurait d'abord rejoint la Turquie, avant d'arriver à Rakka, le fief de l'Etat Islamiste en Syrie en août 2013, où il aurait été formé dans un camp entraînement, avant de participer à des opérations.
Lien :
Un Français apparaît à visage découvert dans la dernière vidéo de l’Etat islamique

Sur le même sujet :
l'Etat Islamique revendique la décapitation de Peter Kassig
l'Etat Islamique revendique la décapitation de Alan Henning
Algérie : un Français kidnappé et menacé de mort par l'EI
un troisième otage décapité par l'Etat Islamique
l'Etat Islamique revendique la décapitation de Steven Sotloff !

dimanche, novembre 16, 2014

l'Etat Islamique revendique la décapitation de Peter Kassig

L'Etat islamique (EI) a revendiqué l'exécution par décapitation de l'otage américain Peter Kassig, 26 ans.
Travailleur humanitaire en Syrie après avoir été soldat en Irak, Peter Kassig était apparu le 3 octobre dernier à la fin de la vidéo de décapitation de Alan Henning.
La vidéo, d'une durée de près de 16 minutes, montrerait un homme masqué, debout à côté d'une tête tranchée, dont il affirme qu'il s'agit de celle de Peter Kassig.
Lien :
Syrie: le groupe EI affirme avoir décapité l’Américain Peter Kassig

Sur le même sujet :
l'Etat Islamique revendique la décapitation de Alan Henning
Algérie : un Français kidnappé et menacé de mort par l'EI
un troisième otage décapité par l'Etat Islamique
l'Etat Islamique revendique la décapitation de Steven Sotloff !

vendredi, novembre 07, 2014

Nabilla poignarde Thomas !

Les Anges deviennent Démons
Nabilla Benattia et Thomas Vergara
Nabilla Benattia a été interpellée dans la nuit après avoir poignardé Thomas Vergara de plusieurs coups de couteaux au thorax.
Les faits se sont déroulés à ≈2h30 du matin, dans un hôtel de l'Ile Seguin, à Boulogne-Billancourt (92).
Thomas Vergara a été hospitalisé dans état grave mais son pronostic vital ne serait pas engagé.
D'après la version de Nabilla, le couple aurait été agressé par 3 individus.
Thomas a évoqué également une agression extérieure tandis que Nabilla expliquait plus tard à la police judiciaire de Nanterre que c'était lui-même qui s'était fait cette blessure sous l'emprise de cocaïne.
Devant le juge d'instruction, Nabilla a évoqué des pressions psychologiques et des coups dont elle serait régulièrement victime de la part de Thomas Vergara.
Elle a également parlé de sa "peur de mourir" lors des terribles colères que peut prendre son compagnon lorsqu'il est sous l'emprise de l'alcool.
Lien :
Nabilla : elle évoque les coups et la pression psychologique de son compagnon

Sur le même sujet :
clash entre Nabilla et la SNCF !
l'Amour est dans la plainte
Clash entre Gilbert Collard et une contrôleuse de la SNCF !

jeudi, novembre 06, 2014

San Lorenzo : Cassandre et Houria auraient été tuées par des notables

Houria Moumni et Cassandre Bouvier
Malgré une rumeur qui évoque en effet une fête qui aurait mal tourné entre des notables de Salta et des touristes étrangers à laquelle auraient été conviées Cassandre et Houria, dans le quartier résidentiel huppé de la Quebrada de San Lorenzo, lors du verdict du procès, un seul homme, Gustavo Lasi, a été reconnu coupable.
Ceux que le journaliste Jean-Charles Chatard appellent les "fils du pouvoir" auraient masqué leur crime avec la complicité de politiques et fonctionnaires de justice haut placés.
Dans une lettre adressée aux familles Bouvier et Moumni en avril 2014, un corbeau demande "Pourquoi n'ont-ils pas enquêté sur la facture téléphonique de l'organisateur de la soirée en ce qui concerne la matinée du dimanche 16 juillet ?".

Bilan de F. Hollande à mi-mandat : "Bon Bilan "!

La pauvreté n'a pas disparu, elle se cache. Dans son rapport annuel publié jeudi, le Secours catholique indique qu'en France, les pauvres sont de plus en plus pauvres, mais que la solitude et l'isolement les rendent de moins en moins visibles. L'association attire notamment l'attention sur les seniors précaires et les hommes seuls. En 2013, l'association a apporté une aide à 1 477 000 personnes dont 692 000 enfants. «La pauvreté s'intensifie. On rencontre davantage de personnes avec un niveau de vie de plus en plus faible», a expliqué à l'AFP Bernard Thibaud, secrétaire général du Secours catholique. En moyenne, les bénéficiaires disposent d'un revenu de 515€ par mois et par unité de consommation, soit 17€ par jour, bien en dessous du seuil de pauvreté (987€) et du seuil de très grande pauvreté (651€). Et 16% n'ont aucune ressource.



Précarité énergétique :

Les personnes seules représentent 40% des bénéficiaires, devant les familles monoparentales (30%) et les couples avec enfants (24%). Si les jeunes sont majoritaires, la part des plus de 50 ans ne cesse d'augmenter. «La paupérisation des seniors s'accentue, avec pour premières victimes les femmes qui n'ont pas connu le plein emploi» et disposent donc de pensions très faibles, précise Thibaud, avec un revenu moyen de 618€. Ces seniors font partie de «ces pauvretés qu'on ne voit plus», explique le Secours catholique. Autre précarité silencieuse: les hommes seuls. Jeunes, migrants, grands exclus ou pères célibataires, ce sont ceux qui ont le moins de revenus, avec en moyenne 437€ par mois. 28% n'ont aucune ressource. Ils sont particulièrement victimes du mal-logement. Près de la moitié ne vivent pas chez eux mais chez un proche, en centre d'hébergement, en squat ou à la rue. «Dans l'accès au logement, la priorité est donnée aux femmes et aux enfants», souligne Bernard Thibaud. Ces hommes seuls souffrent aussi d'un très fort isolement. «Beaucoup se replient sur eux-mêmes et ont une moindre connaissance de leurs droits», explique-t-il. D'autant qu'ils ont peu de prestations sociales. Outre les besoins d'écoute et d'aide alimentaire, beaucoup de précaires viennent aussi demander une aide financière au Secours catholique, pour payer leur loyer ou leurs dépenses d'énergie. Car la précarité énergétique, autre «pauvreté invisible», gagne du terrain. «On a une hausse des impayés d'énergie. Les gens doivent choisir entre se nourrir et se chauffer», déplore Thibaud.
source : 20minutes.fr

lundi, novembre 03, 2014

la lettre de Slimane ex agent SNCF à Guillaume Pepy

"Monsieur Pepy,

J'ai saisi les prud'hommes ce 30 octobre pour harcèlement moral et discrimination. J'ai été licencié de la SNCF le 22 mars 2013. Mon principal tort ? Avoir dénoncé le danger que faisait courir la consommation d'alcool par des aiguilleurs de la Gare Saint-Lazare, censés être garants de la sécurité des usagers. Faute d'être entendu en interne, j'ai diffusé sur Le Point.fr en juin 2013 une vidéo démontrant ces excès, qui a fait le tour d'Internet. Vous n'avez plus pu ignorer. Mais vous avez évacué. L'affaire est pourtant grave. Comment tolérer que des agents alcoolisés interviennent sur des postes à risques ? J'ai suivi le déroulement de l'enquête interne déclenchée par le service éthique de la SNCF, conduit par M. Dufournaud. J'ai proposé d'apporter mon aide (article du Point du 19 juin 2014) sans que cette main tendue n'ait trouvé preneur. Non pas que je ne trouve pas l'initiative d'un enquête interne louable, mais l'idée de diligenter un corps de la SNCF pour mener une enquête sur un autre corps de la SNCF me semble plus que discutable. Je pense que refuser mon "éclairage" était une façon de plier l'affaire rapidement. Les vacances d'été pointant à l'horizon, vous imaginiez certainement que tout le monde oublierait cette fâcheuse histoire à la rentrée. Tout le monde sauf moi. Et les 500 000 usagers de la gare Paris Saint-Lazare. Et peut-être aussi les agents qui ne veulent pas être associés à ces dérives. Et les contribuables aussi, dont je fais partie, bon, un peu moins depuis mon licenciement, je vous le concède... La première et la dernière question que vos services d'enquête nous ont adressé était la suivante : "Avez-vous d'autres vidéos ?" Pourtant, votre direction locale était au courant. Ce n'est pas faute d'avoir épuisé tous les recours en ma possession pour faire bouger les lignes, pour sensibiliser ma hiérarchie en interne sur ces actes loin d'être isolés (j'ai de quoi vous convaincre...). La consommation d'alcool au sein du PRS Paris Saint Lazare était quasi quotidienne, démesurée, atteignant des proportions qui dépassent l'entendement. Et ce phénomène semble commun à de très nombreux postes d'aiguillage. Alerter ma hiérarchie des abus d'alcool répétés me protégeait également juridiquement, ayant accepté à la signature de mon contrat que ma responsabilité pénale soit engagée en cas d'accident grave de la circulation. Tolérer dans mon environnement de travail des individus ivres ou absents de leur poste de travail était un risque voire un danger pour les usagers mais pour moi aussi. Alors pourquoi devais-je prendre un risque pénal pour vous protéger vous ? Les conclusions rendues par "l'enquête interne" (mais pas rendues publiques) non seulement ne me satisfont pas, mais sont risibles. C'est au nom des 500.000 usagers quotidiens de la gare St Lazare que je vous demande de prendre les choses en main et de faire le vrai nécessaire. Distribuer des tracts et des communiqués c'est bien, sévir et montrer l'exemple auprès des véritables responsables c'est mieux. En effet, seuls les aiguilleurs ont été sanctionnés - dont deux de confession musulmane pour ne pas avoir lancé l'alerte (mépris quand tu nous tiens...). Le fusible idéal pour la direction locale. Mais le risque est grand. Le risque que des éléments de preuves nouveaux apparaissent pour incriminer une direction locale qui la mettrait face à ses contradictions. L'argument avancé par ma hiérarchie à l'époque était le suivant : "Tu ne pourras jamais prouver devant un juge que la SNCF tolère cela. Il faudrait prendre les agents sur le vif et cela est impossible. On dira toujours que nous ne sommes pas responsables et que l'agent incriminé à bu chez lui avant de venir au bureau et qu'on n'y pouvait rien. Tu peux toujours filmer et photographier, c'est interdit par la loi." J'aimerais bien prendre connaissance de la loi qui défend la mise en danger de la vie d'autrui. Alors qu'il s'agit de filmer pour alerter, dénoncer pour éviter une catastrophe. Il est quand même des postures insoutenables lorsqu'il s'agit de vies humaines. Votre direction locale à tout nié en bloc. Il est naïf, tellement naïf de croire ou de faire croire que le poste de sécurité de Paris St Lazare, l'un des plus importants de la région parisienne qui permet de gérer à lui seul une centaine d'itinéraires, soit coupé du reste de l'entreprise, alors même que les bureaux de la direction se trouvent à moins d'une dizaine de mètres. Aucune autorité hiérarchique n'aurait été informée de ce qui s'y passait ? Ces écarts de conduite quotidiens auraient eu lieu à l'insu de tous ? Dans ce cas, il s'agit d'une négligence incroyable que de laisser un tel poste sans aucun encadrement et aucune surveillance. Une folie furieuse. Qui ne doit pas rester impunie. Serait-ce parce que cette direction s'adonnait aux mêmes pratiques ? Cette consommation d'alcool abusive est devenue chose commune dans les nombreux postes d'aiguillage que j'ai pu visiter lors de ma formation et au vu des nombreux éléments en ma possession. Dernière preuve en date ? Le poste d'aiguillage de Vitry-sur-Seine, qui a volé en fumée le mercredi 23 juillet 2014 suite à la négligence d'un agent ivre qui s'est endormi pendant son service. Il semblerait qu'un autre agent ait été viré un mois à peine avant moi et ce à quelques jours de son commissionnement (titularisation) par la même fine équipe de la gare de Paris Saint Lazare. Lui aussi avait naïvement soulevé ce problème sans savoir que cela lui serait fatal. Mon licenciement est un petit enjeu au regard de la sécurité des usagers. Mais quand même. J'ai été traité (et viré) comme un moins que rien après avoir subi les pires humiliations, endossant les sobriquets peu élogieux et toutes insinuations les plus insupportables mais ce n'est pas tout, votre direction a également exercé à mon encontre un harcèlement moral et un travail de sape permanent. Mon licenciement pour "insuffisance professionnelle" est survenu plus d'un an après mon embauche, deux mois à peine après l'obtention de mon habilitation aiguilleur, obtenue sans fautes et du premier coup. Pour me licencier, vous avez prétexté une moins bonne note à la "RF2", cet examen interne de formation qui jonche le cursus TTMV afin de devenir agent de circulation et non pas aiguilleur. Chaque agent ayant droit à un joker (un échec toléré), j'étais en droit de repasser cet examen. On m'a refusé ce droit. Alors que certains de mes camarades, qui avaient subi, eux, plusieurs échecs, n'ont pas été licenciés. Je ne sais pas si vous réalisez ce que cela signifie de perdre son travail après 6 mois de formation lourde et intensive, qui a donné lieu à beaucoup de sacrifices, au détriment de ma vie de famille, des nuits blanches à réviser pour être à la hauteur d'un service public de qualité. Tout cela en vain. Monsieur Pepy, reconnaître ses erreurs permet parfois d'avancer, souvent de se relever plus grand et plus fort et cela ferait honneur à vos milliers d'employés qui font tout pour offrir un service public de qualité et qui refusent l'étiquette à laquelle on les associe bien souvent à cause d'une poignée d'individus trop ivres d'eux-mêmes.

                                                                Bien à vous,

                                     Slimane H."
source : lepoint.fr

Euthanasie : une américaine de 29 ans choisit sa mort

"there is a difference between a person who is dying and a person who is suicidal"
Brittany Maynard
Brittany Maynard, 29 ans, atteinte d'un cancer du cerveau, a décidé de mettre fin à ses jours le 1er novembre.
Elle avait déménagé de Californie pour l'Oregon au mois de juin, l'un des 5 Etats américains ayant légalisé l'euthanasie avec le Montana, le Vermont, l'Etat de Washington et le Nouveau Mexique.
Sur son site thebrittanyfund.org, elle exprime ses remerciements à tous ses amis qui l'ont soutenu dans cette épreuve.
Lien :
Euthanasie : l'Américaine qui avait ému le monde s'est donné la mort

Sélection du message

Edgar Cayce et la guerre civile

"Il se formera en France deux partis qui se feront une guerre à mort. L'un sera beaucoup plus nombreux que l'autre, mais ce ...