C'est fou
Par : doc ADN le 23 septembre 2003
Jamel le prostitué impliqué dans l'affaire alegre est mort subitement dans une clinique psychiatrique de Toulouse.
Y'a des morts comme celle la ca nous etonne a peine...
Voila un mec qui a accusé plusieurs personnalités du monde politique voire du show baise d'avoir participé a des fessés geantes pour pas dire touze sado maso y'a peut etre des jeunes de l'UMP qui lisent.
Tout le monde crie "le menteur". Sur ce paf au gniouf...
Pas de bol il est noir travelo et prostitué... C'est vrai que ca aide pas face a des juges des avocats anciens journalistes qui sue comme des dessous de bras en boite de nuit non climatisée.
Il avait tout pour mourir "accidentellement". C'est fou comme on nous a persuadé de sa fragilité psychologique, de son coté schizo... Et puis fallait bien le faire taire sinon il allait raconter encore des choses pas gentilles sur des messieurs au dessous de tout soupcons qui ont jamais rien fait de mal... Ca doit etre encore un coup des pornographes... Décidément c'est un lobby plus puissant que les francs macon...
Désormais Baudis peux se remettre du déo, la folle de toulouse ne le fera plus baver des pores...
Ah non il reste encore patricia et sa copine... Je crois pas qu'elle aille dans une clinique avant longtemps...
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vendredi, septembre 16, 2005
narcissisme
Je suis mal. Le quotidien me parait de plus en plus insupportable chaque jour. Je songe à nouveau au suicide.
vendredi, septembre 02, 2005
ok...
Allons-nous vers de nouveaux «états généraux» ? Ou vers un lent décrochage ?... Il y a deux cents ans, quand la France s'est engagée dans la Révolution, elle comptait une proportion de jeunes adultes plus élevée qu'à aucun autre moment de son Histoire, ceci expliquant cela. Aujourd'hui, rien de tel. La majorité des citoyens a plus de 50 ans. Le rêve de chacun, y compris des plus jeunes, est la sécurité de l'emploi et une retraite assurée. Pas de quoi faire la Révolution
jacques marseille
«Quand comprendra-t-on enfin que la dépense keynesienne est facteur d'inégalités ? Que les ouvriers sont les premiers perdants dans le système de retraites et de santé actuel parce qu'ils cotisent pour les riches ? Que les aides aux entreprises vont à celles qui n'en ont pas besoin ? Que la recherche française fonctionne mal parce que l'Université n'est pas assez sélective ?»
jeudi, septembre 01, 2005
pour rmcinfo
http://www.wanadoo.fr/bin/frame2.cgi?u=http%3A//actu.wanadoo.fr/Depeche/ext--francais--ftmms--emploieducation/050830075804.ulrsjtla.html
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La rentrée des syndicats: ils dénoncent la pénurie et appellent à l'action
30/08 10:00 : Les syndicats d'enseignants s'inquiètent des conditions de la rentrée scolaire, dénonçant notamment l'insuffisance des moyens, et fourbissent déjà leurs armes en préparant des actions dès cet automne.
"Nous subissons les conséquences du budget de pénurie voté pour 2005", soulignent les uns et les autres dans les mêmes termes.
Ainsi Gilles Moindrot, secrétaire général du principal syndicat du primaire, le SNUipp-FSU, a tout récemment rappelé qu'on attendait 45.000 enfants de plus pour 700 enseignants supplémentaires seulement, soit moins d'un pour 65 enfants. "L'encadrement va en pâtir et les enfants les plus fragiles en seront les premières victimes", a-t-il dit.
De même, le secrétaire général du Syndicat des enseignants (SE-Unsa), Luc Bérille, a affirmé à l'AFP: "On ne peut comprimer jusqu'à plus soif l'élémentaire, la scolarité en maternelle en fera les frais, notamment celle des deux ans qui a déjà baissé de 9% en quatre ans".
Luc Bérille a également dressé un tableau "morose" pour les lycées et collèges: "On assiste à une ponction continue de postes depuis trois ans. Les établissements vont se replier sur les enseignements obligatoires, supprimant les options et ne pouvant plus assurer le soutien", a-t-il dit.
De son côté, Bernard Boisseau, secrétaire général du Snes-FSU, le syndicat majoritaire du second degré, parle de "désastre". "On supprime 7.000 postes alors que la baisse des effectifs, selon le ministère même, n'en aurait exigé que 3.000", a-t-il dit à l'AFP. "Résultat: fermetures de sections, suppressions d'options, regroupements, suppression des TPE au profit d'un pseudo-dédoublement en langues vivantes", a-t-il ajouté.
La création de 20.000 nouveaux emplois aidés ne trouve pas grâce non plus auprès des syndicats. Ils en contestent le nombre et le statut.
Cela ne compensera pas les 45.000 aide-éducateurs (emplois-jeunes) perdus, estiment-ils, regrettant que ces contrats soient aussi précaires et dénonçant l'absence de qualification requise.
"Précarité maximum"
"C'est bien de réduire le chômage mais l'essentiel est de contribuer à la réussite des enfants: les aide-éducateurs en étaient capables, les nouveaux le seront-ils vraiment ?", a demandé Gilles Moindrot. "Pourquoi avoir supprimé les emplois-jeunes pour les réinventer mais avec sous-qualification et précarité maximum ?", s'est interrogé Luc Bérille.
L'application de la loi Fillon, qui avait été contestée toute l'année dernière, ne ravit pas non plus les syndicats. "Contrairement à l'image consensuelle qu'il veut donner, le nouveau ministre (Gilles de Robien) en applique l'essentiel, avec des décrets qui alourdiront ou complexifieront nos tâches sans rien apporter aux élèves", dit-on au SE. "Ce sont des textes ségrégatifs, réducteurs, dénaturant l'activité professorale", ajoute-on au Snes.
L'un comme l'autre s'inquiètent essentiellement des nouvelles modalités de remplacements de courte durée par des collègues du même établissement, et préviennent que cela ne pourra se faire qu'en vertu du principe du volontariat.
Prêts à soutenir tout mouvement local à la rentrée, ils envisagent également des actions nationales avec toutefois une différence.
Au Snes, on préconise une initiative spécifique aux enseignants. Au SE, on insiste sur la nécessité d'une action globale interprofessionnelle "sans disperser, épuiser et isoler les enseignants". "C'est toute la politique gouvernementale qui est en cause, pas seulement l'éducation", souligne Luc Bérille.
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La rentrée des syndicats: ils dénoncent la pénurie et appellent à l'action
30/08 10:00 : Les syndicats d'enseignants s'inquiètent des conditions de la rentrée scolaire, dénonçant notamment l'insuffisance des moyens, et fourbissent déjà leurs armes en préparant des actions dès cet automne.
"Nous subissons les conséquences du budget de pénurie voté pour 2005", soulignent les uns et les autres dans les mêmes termes.
Ainsi Gilles Moindrot, secrétaire général du principal syndicat du primaire, le SNUipp-FSU, a tout récemment rappelé qu'on attendait 45.000 enfants de plus pour 700 enseignants supplémentaires seulement, soit moins d'un pour 65 enfants. "L'encadrement va en pâtir et les enfants les plus fragiles en seront les premières victimes", a-t-il dit.
De même, le secrétaire général du Syndicat des enseignants (SE-Unsa), Luc Bérille, a affirmé à l'AFP: "On ne peut comprimer jusqu'à plus soif l'élémentaire, la scolarité en maternelle en fera les frais, notamment celle des deux ans qui a déjà baissé de 9% en quatre ans".
Luc Bérille a également dressé un tableau "morose" pour les lycées et collèges: "On assiste à une ponction continue de postes depuis trois ans. Les établissements vont se replier sur les enseignements obligatoires, supprimant les options et ne pouvant plus assurer le soutien", a-t-il dit.
De son côté, Bernard Boisseau, secrétaire général du Snes-FSU, le syndicat majoritaire du second degré, parle de "désastre". "On supprime 7.000 postes alors que la baisse des effectifs, selon le ministère même, n'en aurait exigé que 3.000", a-t-il dit à l'AFP. "Résultat: fermetures de sections, suppressions d'options, regroupements, suppression des TPE au profit d'un pseudo-dédoublement en langues vivantes", a-t-il ajouté.
La création de 20.000 nouveaux emplois aidés ne trouve pas grâce non plus auprès des syndicats. Ils en contestent le nombre et le statut.
Cela ne compensera pas les 45.000 aide-éducateurs (emplois-jeunes) perdus, estiment-ils, regrettant que ces contrats soient aussi précaires et dénonçant l'absence de qualification requise.
"Précarité maximum"
"C'est bien de réduire le chômage mais l'essentiel est de contribuer à la réussite des enfants: les aide-éducateurs en étaient capables, les nouveaux le seront-ils vraiment ?", a demandé Gilles Moindrot. "Pourquoi avoir supprimé les emplois-jeunes pour les réinventer mais avec sous-qualification et précarité maximum ?", s'est interrogé Luc Bérille.
L'application de la loi Fillon, qui avait été contestée toute l'année dernière, ne ravit pas non plus les syndicats. "Contrairement à l'image consensuelle qu'il veut donner, le nouveau ministre (Gilles de Robien) en applique l'essentiel, avec des décrets qui alourdiront ou complexifieront nos tâches sans rien apporter aux élèves", dit-on au SE. "Ce sont des textes ségrégatifs, réducteurs, dénaturant l'activité professorale", ajoute-on au Snes.
L'un comme l'autre s'inquiètent essentiellement des nouvelles modalités de remplacements de courte durée par des collègues du même établissement, et préviennent que cela ne pourra se faire qu'en vertu du principe du volontariat.
Prêts à soutenir tout mouvement local à la rentrée, ils envisagent également des actions nationales avec toutefois une différence.
Au Snes, on préconise une initiative spécifique aux enseignants. Au SE, on insiste sur la nécessité d'une action globale interprofessionnelle "sans disperser, épuiser et isoler les enseignants". "C'est toute la politique gouvernementale qui est en cause, pas seulement l'éducation", souligne Luc Bérille.
il fallait oser le dire!
«c'est bien de réduire le chômage, mais l'essentiel est de contribuer à la réussite des enfants : les aides-éducateurs [anciens emplois-jeunes de l'Education] en étaient capables, les nouveaux le seront-ils vraiment ?» interroge Gilles Moindrot.
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