jeudi, mai 12, 2005

le pire est il a venir ?

Spécialiste du terrorisme et directeur de recherches à l'Intitut de relations internationales et stratégiques (Iris), Guillaume Dasquié annonce, dans cet ouvrage rédigé sous la forme d'un journal, qu'il n'écrira plus désormais sur Al Qaïda mais livre une série d'informations inédites sur le fonctionnement de l'organisation.
Ainsi, il raconte que la signature du contrat d'armement Sawari IImilliards d'euros) de livraison de frégates à la marine saoudienne, fut signé en 1994 par le gouvernement français d'Edouard Balladur avec l'Arabie Saoudite, grâce à l'entremise d'un homme d'affaires saoudien cheikh Ali bin Mussalim.
Celui-ci décédé en 2004 à Lausanne, se révélera avoir été l'un des principaux argentiers de ben Laden, selon un rapport du Trésor américain daté de janvier 2002 et cité par l'auteur.
Guillaume Dasquié s'étonne d'autre part qu'un militant islamiste, interpellé le 15 juin 2004 à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine) avec quatre autres personnes dans une opération visant les milieux salafistes, ait pu être remis en liberté quatre jours plus tard par les juges antiterroristes.
Selon l'auteur, l'un des cinq hommes interpellé était en possession d'un document à l'en-tête de l'International Islamic Relief Organisation (IIRO), la plus importante association caritative islamique saoudienne, fortement soupçonnée de participer au financement d'Al Qaïda.
Enfin l'auteur d'"Al Qaïda vaincra" assure, documents officiels à l'appui, que Yeslam ben Laden, l'un des demi-frères de ben Laden, qui a obtenu la nationalité helvétique en mai 2001 et qui a toujours répété n'avoir plus de relations avec Oussama depuis le début des années 80, a pourtant partagé avec celui-ci un compte commun dans une grande banque suisse de 1991 à 1997.

Source : Radio France

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