lundi, janvier 30, 2006

Munich

JO de Munich: les dessous d'une prise d'otages.

Le 5 septembre 1972, le monde entier retient son souffle: les jeux Olympiques de Munich sont le théâtre d'une sanglante prise d'otages. Un commando de terroristes palestiniens retient prisonnier un groupe de onze athlètes israéliens. La prise d'otages dure vingt heures et se solde par un drame: les onze otages israéliens meurent, ainsi que cinq des huit terroristes. Dans les heures qui suivent le tragique événement, les autorités locales sont mises en cause. Au lendemain de ce drame, une véritable chasse à l'homme est ouverte par l'État hébreu. Dans le plus grand secret, les services spéciaux israéliens vont rechercher les commanditaires de la prise d'otages, un par un. On découvre quels stratagèmes ont été utilisés pour piéger les terroristes.

dimanche, janvier 29, 2006

bravo monsieur lellouche

j'entend le député Pierre Lellouche nous expliquer dans l'émission "Tout le monde en parle" sur france 2 nous expliquer qu'il y a deux France, celle des privilégiés et celles des précaires. Je ne veux pas me vanter mais c'est exactement ce que j'ai dit dans un précédent post.

la folie collective

Je suis en train de regarder sur la chaine LCP la commission d'enquête sur Outreau. L'avocat de Karine Duchossoy rappelle le délire médiatique que nous ont fait vivre les média au début de l'affaire. Ce sont pour moi les premiers responsables de ce carnage mais -il faut quand même le souligner- ceux qui ont permi de les acquiter par la suite...

Rappel de l'emballement sordide auquel même des avocats se sont livrés:

Le 12 janvier 2002, Me Duport-journal de 13 heures de tf1-

"Il y a une séquence très courte, mais très poignante, entre le moment où la petite fille est agressée, le moment où elle refuse, le moment où on la force, elle refuse encore, on la force encore, arrivent les coups, les coups de pied, a petite fille commence à saigner de la bouche elle finit par mourir."

Le 13 janvier 2002, Me Duport -journal de 20 heures de France 2 :

"Vous imaginez deux hommes en train d’agresser et de violer une petite fille de 5 ans, qui crie, qui se démène, qui pleure, est blessée, est battue, finalement battue à mort."

samedi, janvier 28, 2006

les verdicts du vendredi soir

frédéric ramette a pris 30 ans pour le meurtre et le viol d'une jeune fille de 16 ans en 2003. 30 ans assortis d'une peine de sûreté de 20 ans et d'une privation de ses droits civiques de 10 ans.

Egalement 30 ans pour denis besson qui avait enlevé la petite fanny 9 ans.

perpetuité pour la grand-mère du petit Nicolas.

Thiery N risque 20 ans.

vendredi, janvier 27, 2006

le précaire et le fonctionnaire

Combien de temps pouvons nous tolérer de telles égalités entre le précaire qui va signer un CPE (Contrat Précaire d'Embauche) et le fonctionnaire (titulaire) ? Le premier dépend du bon vouloir de son patron qui a droit de vie et de mort sur lui. Il ne peut faire aucun projet à long terme, ne pourra obtenir un prêt bancaire, fonder une famille. Il vivra au jour le jour sans savoir de quoi demain sera fait. Pendant ce temps Monsieur le fonctionnaire connaîtra presque le jour de son départ à la retraite. Il se verra dérouler tous les tapis rouges. Il veut faire de la politique ? Il n'aura qu'a demander une décharge ? Il veut prendre une année sabbatique ? Pas de problème, il retrouvera tous ses avantages après ? Il veut travailler dans un autre domaine que son secteur ? Il n'aura qu'à demander un détachement. Des privilèges qui apparaissent de plus en plus odieux à ceux qui sont finalement devenus des esclaves du travail. Cette situation rappelle dramatiquement la situation de l'ancien régime. J'entends partout le mot égalité ? Quel sens a-t-il de nos jours ?

le jour des procès

Ce soir les verdict de l'affaire frédéric ramette/audrey tixier qui avait débuté le mercredi 6 aût 2003. Perpétuité + 20 ans de sûreté sont requis par le procureur général alors que le maximum est de 22 ans. celui de samy nacerri qui a passé deux mois en prison et en ressort très fatigué.

A suivre...

jeudi, janvier 26, 2006

Houria bouteldja

La représentente des indigènes de la république malgré ses excès a compris que derrière le principe égalitaire, la république française essaie de camoufler ses défauts en particulier son racisme, son sexisme. Elle retourne les arguments de ses adversaires: Par exemple elle propose aux députés de l'assemblée nationale de créer un mouvement "ni putes ni soumises". Elle tape là où cela fait mal: Elle accuse par exemple Alain Finkielkraut d'être un réactionnaire. De ceux ci elle utilise la rhétorique en accusant la France d'avoir instauré le mythe de l'égalité.

Un cocktail explosif fait de jeunesse, féminisme et antiracisme.

c'était le mercredi 6 aout 03

Le procès de Frédéric Ramette, violeur et meurtrier présumé d'une lycéenne de 16 ans en août 2003 sur l'île de Ré, s'est ouvert devant la cour d'assises de Saintes. Le corps à moitié dénudé d'Audrey Texier avait été retrouvé par sa mère le 6 août 2003 sur un chemin, entre le domicile familial et le marché de Saint-Martin-de-Ré, où l'adolescente avait l'habitude d'aider ses parents ostréiculteurs.

mercredi, janvier 25, 2006

La fin du CDI ?

Je vois les députés s'entretuer à l'assemblée nationale pour décider si le CPE (Contrat Première Embauche) est mieux pour les jeunes que les CDD, stages et autres contrats précaires. La gauche est par principe contre puisque cette mesure vient de l'UMP. Comme toujours le téléspectateur moyen est perdu, il ne sait distinguer le vrai du faux. Est ce une chance pour la jeunesse ou va-t-on sombrer à nouveau dans une précarité plus grande encore ? Comment s'étonner alors que les jeunes français veulent avant tout être fonctionnaires ?

mardi, janvier 24, 2006

Alain Marecaux a fait une TS

J'apprend que l'huissier de justice d'Outreau, Alain Marecaux a tenté de se suicider dans la nuit du lundi 23 au mardi 24 janvier 2006...

tentative d'explication:

ah ? il y a des problèmes en france ?

Un homme de 31 ans a tué ses quatre enfants âgés de deux à neuf ans avant de se suicider, en Bretagne, à Néant-sur-Yvel, une commune du Morbihan, apprend-on auprès des gendarmes de Ploërmel (Morbihan). Les corps des quatre enfants, trois filles et un garçon, ont été découverts lundi matin par les gendarmes dans une maison des environs de la commune. Leur père, qui en avait la garde pour le week-end, les aurait égorgés avant de se pendre.

dimanche, janvier 22, 2006

profil des accusés d'Outreau

Avez vous remarqué le caractère homogène des profils des victimes innocentées d'Outreau ?

Comment l'imaginaire collectif a-t-il pu influencer sur la présomption de culpabilité ?

1) Pour ceux qui avaient un travail ce sont essentiellement des professions libérales: chauffeur de taxi, huissier, infirmière libérale, etc...
Remarquez qu'il n'a a pas d'enseignants, de postier, d'agent SNCF...

2) Ce sont des gens implantés depuis de nombreuses années dans le Pas De Calais

3) Ce sont des gens ordinaires, issus d'un milieu modeste, et même si certains ont réussi socialement comme l'huissier, il ne le doivent qu'à eux même.

4) Ce sont des gens honnêtes n'ayant pour la plupart jamais eu affaire à la justice
Remarquez qu'il n'y a pas de traffiquants de drogue par exemple

samedi, janvier 21, 2006

LIBERTE-égalité-fraternité

d'après aliceadsl.fr
Les auditions publiques menées par une commission d'enquête parlementaire sur l'affaire de pédophilie d'Outreau ont remis le dossier de la réforme de la justice en France à l'agenda politique du gouvernement.

Après les témoignages poignants des acquittés, retransmis en direct à la télévision mercredi, les avocats intervenus dans ce dossier ont déposé à leur tour jeudi et demandé aux députés des réformes du système judiciaire français.

Ils ont soutenu que les abus constatés dans le dossier d'Outreau faisaient le quotidien des tribunaux.

Les suspects sont souvent rudoyés en garde à vue, les avocats fréquemment réduits au rôle de faire-valoir, beaucoup de juges d'instruction travailleraient de manière orientée, des charges seraient souvent retenues sur la seule foi de témoignages, sans éléments matériels, ont-ils dit.

Fait sans précédent, un juge d'instruction connu pour des enquêtes réussies, Renaud Van Ruymbeke - qui a instruit notamment l'affaire Elf et retrouvé l'assassin de la jeune Britannique Caroline Dickinson en 1996 - s'est prononcé pour la suppression de sa propre fonction.

"Il faut supprimer le juge d'instruction. Pourquoi ? Parce qu'il a une double casquette. Il est à la fois enquêteur et arbitre", explique-t-il au journal Le Monde.

BURGAUD ENTENDU LE 8 FEVRIER

Cet appui symbolique est venu conforter de nombreux élus, notamment de droite, qui souhaitent cette réforme. Le gouvernement et les syndicats de magistrats y semblent opposés.

Le ministre de la Justice, Pascal Clément, "ne ferme pas le débat mais souligne que cette réforme en supposerait d'autres qui serait très lourdes, notamment l'indépendance du parquet", a-t-on expliqué à son cabinet.

Les souffrances des acquittés d'Outreau ont aussi relancé la question de la responsabilité des magistrats français, qui dans le système actuel, ne sont en général que peu ou pas sanctionnés pour des erreurs de jugement ou des négligences.

Les avocats ont estimé qu'il fallait réformer ce point.

"Le chirurgien, le géomètre, l'avocat sont responsables dans l'exercice de leur métier. Je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas la même chose pour les juges", a dit Me Hubert Delarue devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale.

En réponse, les syndicats de magistrats ont appelé les hommes politiques à la prudence, une soixantaine de lois pénales ayant déjà été votées depuis 2000, dont deux réformes de procédure historiques et très vastes en 2000 et 2004.

Dominique Barella, président de l'Union syndicale des magistrats (USM), a souligné que le gouvernement privilégiait plutôt le projet d'une action judiciaire plus ferme et plus rapide contre les délinquants.

"Dans ce contexte, c'est tout le pays qui doit faire son examen de conscience sur la détention provisoire", a-t-il dit.

En attendant une éventuelle réforme, le juge d'instruction de l'affaire d'Outreau, Fabrice Burgaud, est sous le feu des critiques après son refus de s'excuser et pour s'être présenté en "victime d'une injustice".

La commission d'enquête l'entendra le 8 février en public et en présence des acquittés.

Sur France Info, son avocat, Me Patrick Maisonneuve, a protesté par avance contre cette audition qu'il voit comme une "cérémonie expiatoire". André Vallini, président de la commission, a répondu qu'il s'opposerait à tout "lynchage".

vendredi, janvier 20, 2006

c'est ça la France!

D'après aliceadsl.fr

Les auditions publiques menées par une commission d'enquête parlementaire sur l'affaire de pédophilie d'Outreau ont remis le dossier de la réforme de la justice en France à l'agenda politique du gouvernement.

Après les témoignages poignants des acquittés, retransmis en direct à la télévision mercredi, les avocats intervenus dans ce dossier ont déposé à leur tour jeudi et demandé aux députés des réformes du système judiciaire français.

Ils ont soutenu que les abus constatés dans le dossier d'Outreau faisaient le quotidien des tribunaux.

Les suspects sont souvent rudoyés en garde à vue, les avocats fréquemment réduits au rôle de faire-valoir, beaucoup de juges d'instruction travailleraient de manière orientée, des charges seraient souvent retenues sur la seule foi de témoignages, sans éléments matériels, ont-ils dit.

Ils ont suggéré des réformes allant d'une modification des règles de la garde à vue à la suppression pure et simple du juge d'instruction. Il serait remplacé par un système dit "accusatoire" où un procureur devenu indépendant ferait l'enquête face à des avocats aux pouvoirs renforcés.

"Je pense que le juge d'instruction a fait son temps", a dit Me Franck Berton. "Ce sont les mentalités qu'il faut changer. Le présomption d'innocence doit s'ancrer dans les esprits", a ajouté Me Jean-Louis Pelletier.

Fait sans précédent, un juge d'instruction connu pour des enquêtes réussies, Renaud Van Ruymbeke - qui a instruit notamment l'affaire Elf et retrouvé l'assassin de la jeune Britannique Caroline Dickinson en 1996 - s'est prononcé pour la suppression de sa propre fonction.

"Il faut supprimer le juge d'instruction. Pourquoi ? Parce qu'il a une double casquette. Il est à la fois enquêteur et arbitre", explique-t-il au journal Le Monde.

BURGAUD ENTENDU LE 8 FEVRIER

Cet appui symbolique est venu conforter de nombreux élus, notamment de droite, qui souhaitent cette réforme. Le gouvernement et les syndicats de magistrats y semblent opposés.

Le ministre de la Justice, Pascal Clément, "ne ferme pas le débat mais souligne que cette réforme en supposerait d'autres qui serait très lourdes, notamment l'indépendance du parquet", a-t-on expliqué à son cabinet.

Les souffrances des acquittés d'Outreau ont aussi relancé la question de la responsabilité des magistrats français, qui dans le système actuel, ne sont en général que peu ou pas sanctionnés pour des erreurs de jugement ou des négligences.

Les avocats ont estimé qu'il fallait réformer ce point.

"Le chirurgien, le géomètre, l'avocat sont responsables dans l'exercice de leur métier. Je ne vois pas pourquoi ce ne serait pas la même chose pour les juges", a dit Me Hubert Delarue devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale.

En réponse, les syndicats de magistrats ont appelé les hommes politiques à la prudence, une soixantaine de lois pénales ayant déjà été votées depuis 2000, dont deux réformes de procédure historiques et très vastes en 2000 et 2004.

Dominique Barella, président de l'Union syndicale des magistrats (USM), a souligné que le gouvernement privilégiait plutôt le projet d'une action judiciaire plus ferme et plus rapide contre les délinquants.

"Dans ce contexte, c'est tout le pays qui doit faire son examen de conscience sur la détention provisoire", a-t-il dit.

En attendant une éventuelle réforme, le juge d'instruction de l'affaire d'Outreau, Fabrice Burgaud, est sous le feu des critiques après son refus de s'excuser et pour s'être présenté en "victime d'une injustice".

La commission d'enquête l'entendra le 8 février en public et en présence des acquittés.

Sur France Info, son avocat, Me Patrick Maisonneuve, a protesté par avance contre cette audition qu'il voit comme une "cérémonie expiatoire". André Vallini, président de la commission, a répondu qu'il s'opposerait à tout "lynchage".

jeudi, janvier 19, 2006

La terreur douce

1) Internet NE marche PAS mais comme tu es TOUJOURS à la maison

2) Si tu branchais ton téléphone portable...

3) SI il te l'a expliqué

4) il NE faut PAS battre les chats

5) SI ta soeur disait qu'il y avait des boites pour jeunes à Poitiers

6) Je ferme la porte pour qu'ils (les chats) NE te dérangent PAS (rque:ils ne sont
pas rentrés)

Analyse: bombardement régulier de critiques qui prises une à une semblent banales mais qui mises bout à bout sont très destructrices...

Questions posées: Le sujet harceleur a-t-il réellement conscience de cela ?

Tentative d'explication: La Haine et/ou la Vengeance est certainement derrière l'action du harceleur qui cherche à faire passer son message inconscient de la manière la plus insidieuse et donc la plus efficace possible. L'objectif est de créer une atmosphère désagréable pour que le sujet agressé se sente mal à l'aise. Le but recherché est de le mettre dans une position "fight" or "flight".
Il n'a plus le temps de raisonner rationnellement sur les problèmes qui devraient normalement l'occuper: Travailler, chercher un emploi, sortir avec une fille etc...
Le harceleur peut à tout moment trouver une fuite en niant tout simplement puisqu'il n'y a pas de traces tandis que le harcelé peut perdre les pédales et se livrer à une agression physique visible sur laquelle le harceleur s'appuyera pour éventuellement faire prendre en charge le harcelé soit par un Hopital psychiâtrique soit par la justice.

remarque 1: la terreur du harcelé est renforcé par le fait qu'il ne peut fuir de chez lui tandis que le harcelé a cette possibilité.

remarque 2: Le harceleur se déculpabilise en se disant que sa victime est mauvaise et en se persuadant que c'est lui qui a été victime du harcelé (composante paranoïaque)


Autres motivations inconscientes: Il s'agit de prendre le pouvoir. Pour cela le harceleur tente d'infantiliser sa victime.

perversité évidente: Si le harceleur ne sent pas de résistance, il continuera le jeu avec des procédés de plus en plus violents de manière à atteindre une sorte de point limite chez le sujet agressé qui même s'il arrive à se contenir se sentira faible inférieur, sali, etc..

CCl:

1) Un bon moyen de prendre le pouvoir sur l'autre en se valorisant (transaction gagnant-perdant)
2) Une prise de risque minimale (si le harcelé n'est pas trop violent)
3) Un moyen de se détendre avec un jeu du type chat/souris

mercredi, janvier 18, 2006

JGA or not JGA

Je ne sais pas encore si je suis inscrit aux JGA 2006, je laisse donc ce post pour voir par la suite si j'y serai finalement allé.

rmcinfo

Si l'on mettait la même énergie dans notre politique pour l'emploi que dans la politique de la natalité qui aide des gens déjà privilégiés et qui n'en n'ont pas vraiment besoin, nous serions peut être moins bien classés au niveau du nombre de naissance mais mieux classés pour résoudre le problème du chomage.
D'ailleurs cette intrusion de l'état dans la vie privée des familles et l'optimisme forcé sur des sujets qui n'ont finalement pas beaucou d'intérçet rappelle certains régimes dictatoriaux (cf Corée du Nord).

mardi, janvier 17, 2006

rmcinfo

Monsieur De Villepin prend les jeunes pour beaucoup plus stupides qu'ils ne le sont. Nous avons bien compris qu'avec tous ces contrats nous finirons par nous faire avoir...Le seul contrat valable dans ce pays communiste c'est le contrat "fonction publique"!

lundi, janvier 16, 2006

un psychiâtre qui pousse au suicide

J'avais rendez vous ce matin chez un psychiâtre à 8h30. Chaque fois que je répondais à une de ses questions je sentais que je l'emmerdais. Pourquoi est ce que je continue à aller chez lui me direz vous ? Eh bien c'est une longue histoire, en gros c'est ou des visites régilières chez lui ou des visites en hopital de jour. Enfin si quelqu'un qui lit ce Blog a une idée pour me permettre de sortir de cette spirale d'échec n'hésitez pas à m'écrire...

dimanche, janvier 15, 2006

définition de la torture

On appelle torture l'activité consistant à produire une souffrance intense ou longue, psychologique ou physique, en évitant ou du moins en retardant la mort. Elle peut produire des séquelles et des mutilations, mais c'est un effet secondaire, ou éventuellement un moyen de faire souffrir, et non un but en soi.

explication retard SNCF jeudi...

Projectile indéterminé sur le TER à Saint-Chamond
J.-H.A.
Longueur : Court ( 294 mots )

un projectile alors qu'il se trouve à environ 500 mètres de la gare de Saint-Chamond. Une vitre est brisée. Les usagers de la rame sont pris de panique

samedi, janvier 14, 2006

to be interned or not to be interned

Combien de temps la frustration de vivre sans travail va-t-elle durer encore ? Quand vais je enfin pouvoir commencer à exister. Quand ne serais je plus pris pour la bonne poire de service ? Dois je parler à quelqu'un de mes pulsions suicidaires qui reviennent à la surface au risque de me stigmatiser ou est il préférable de ne pas écouter ce cri à l'interieur de moi-même ?

vendredi, janvier 13, 2006

coup de gueule

Je voudrais pousser un coup de gueule sur l'attitude des agents de la SNCF: Suite a un tir de fusil visant un train en gare de Saint Chamond (loire), la ligne lyon saint etienne a ete bloquee jeudi en fin d'apres midi. Aucune information n'etait donnee aux passager. Les agents SNCF semblaient vouloir faire payer aux usagers ce qui etait arrive. Si ces gens etaient dans le prive et savaient qu'ils risquent leur place en ne faisant pas leur travail ils seraient peut etre moins arrogants! Qu'attendons nous pour privatiser ce (second) Mammouth ?

jeudi, janvier 12, 2006

la maladie du siècle

Je suis en train de regarder Delarue sur France 2. J'apprends que la maladie du siècle est méconnue: Il s'agit de la fibromyalgie (sic!). C'est une maladie invalidante qui entraine un fatigue musculaire forçant parfois le malade a utiliser un fauteuil roulant pour se déplacer...

mercredi, janvier 11, 2006

mettez vous a la place des élèves...

france3.fr


Karen Montet-Toutain, 27 ans, dénonce le laxisme de sa hiérarchie et évoque le climat délétère qui régnait dans son établissement et les multiples menaces dont elle a été victime jusqu'à son agression.

Ce professeur d'arts plastiques avait été blessée le 16 décembre de trois coups de couteau en plein cours par un de ses élèves, âgé de 18 ans.

Mis en examen pour tentative d'assassinat, celui-ci a été écroué trois jours après le drame.

La jeune enseignante, qui a quitté l'hôpital au début de la semaine dernière, ne devrait pas reprendre ses cours avant la mi-mars. Selon son avocat, la jeune femme s'est vu attribuer une "incapacité totale de travail" de trois mois et demi.

Selon certains de ses collègues, la jeune enseignante qui exerce depuis quatre ans à Louis Blériot en veut plus à la proviseure du lycée qu'à l'élève qui l'a poignardée.

Selon Me Senah, son avocat, elle étudie un projet de plainte contre X sur le fondement de l'article 11 de la loi du 11 juillet 1983 qui oblige l'Education nationale à fournir une protection à ses agents.

Lors d'une audition par les policiers pendant son hospitalisation en décembre, elle avait déposé une première plainte pour "menaces et outrage" visant trois élèves, mais pas son agresseur, pour des faits antérieurs à son agression.

L'enseignante sera reçue vendredi 13 janvier par le ministre de l'Education nationale Gilles de Robien.

mardi, janvier 10, 2006

une journée ordinaire

http://chambe.lucien.free.fr/l/la_couleur_de_l_argent_dvd_zone_2.jpg
Cet après midi j'ai regardé sur une vielle cassette des anciens épisodes de la série madame est servie, puis le film Alien et enfin le film la couleur de l'argent

lundi, janvier 09, 2006

fait divers

Un homme d'une cinquantaine d'année a été mis en examen pour avoir tabassé sa mère de 72 ans a qui il reprochait de lui avoir servi des escargots et non des huitres pour le réveillon!

samedi, janvier 07, 2006

jeudi, janvier 05, 2006

get to france

d'apres liberation.fr

Armelle, 24 ans, et son compagnon, Frédéric, 28 ans, étaient à bord du train corail Nice-Lyon dimanche matin. A 06h51, ils montent avec leur fille, âgée de deux ans, dans l'un des wagons de tête, en gare de Saint-Raphaël (Var). Le train est bondé. «Alors que nous nous apprêtions à monter, un maître chien est descendu», raconte Armelle, mère au foyer près de Valence. «Nous nous sommes demandé ce qui se passait.» Entre Saint-Raphaël et les Arcs, alors qu'il n'y avait «pas de policiers et seulement quatre contrôleurs», ils sentent une «atmosphère tendue» et voient «des gens paniqués» se réfugier à l'avant du train. Un couple, d'abord, venu «des wagons de queue, là où des jeunes semblaient très agités». La femme explique au contrôleur s'être fait voler ses affaires et lui demande de l'enfermer dans un compartiment car «elle craint pour sa sécurité».

Un jeune homme arrive à son tour. «C'était un Parisien, il s'est fait détrousser ses clés, son portable». C'est à ce moment que le contrôleur indique à Armelle que «dans les deux derniers wagons des jeunes foutent le bordel. Selon cet agent, ils avaient déjà attaqué d'autres passagers dans d'autres trains de la région depuis la veille et fêtaient le réveillon avec l'argent amassé».

C'est justement à l'arrière du train que Charlotte, 20 ans, a été agressée. Reçue jeudi par Nicolas Sarkozy, cette étudiante de Besançon a porté plainte pour «agression sexuelle». Lorsqu'elle monte dans l'avant dernier wagon à la gare des Arcs, tout va très vite. «A peine arrivée, j'ai été aspirée par une dizaine de jeunes âgé de 15 à 20 ans», témoigne-t-elle à Libération. «Ils m'ont dévalisée, pris mon portefeuille, mon argent.» Un homme assiste à la scène sans broncher. «Il devait avoir peur», dit-elle, précisant qu'hormis ses agresseurs tous les autres passagers avaient quitté le wagon.

Insultée, bousculée, touchée physiquement par des mains intrusives, elle reste sous le choc. «Je n'étais plus un être humain, j'étais réduite à l'état d'objet, bousculée de l'un à l'autre», se souvient la jeune femme, le visage marqué par un œil au beurre noir. Ce n'est qu'après de très longues minutes et l'arrivée des gendarmes dans un train bloqué à quai qu'elle prend la fuite.

A l'avant, en revanche, la situation semble avoir été moins tendue. Durant tout le trajet Saint Raphaël-les Arcs, les passagers s'interrogent. Ils sentent que quelque chose cloche mais tous ne comprennent pas ce qui se passe à l'arrière. «Avant que le contrôleur n'explique la situation, certains d'entre eux ne se rendaient pas compte», raconte Armelle. Arrivé à la gare des Arcs, un arrêt non prévu mais justifié par la présence de «200 furieux à l'arrière du train», selon les propos d'un contrôleur rapportés par Frédéric, plusieurs passagers descendent sur le quai.

«De là j'ai vu des poubelles voler contre les vitres, des rideaux arrachés, des sièges saccagés, des vitres brisées, assure-t-il. J'ai aussi entendu des insultes envers pas mal de passagers mais je n'ai pas vu les agressions physiques. Il y avait là une centaine de jeunes et sur le quai trois ou quatre gendarmes qui ne sont pas intervenus avant l'arrivée de la police ferroviaire car ils n'avaient pas l'accord de la SNCF». Lorsque le train repart «environ deux heures plus tard», le calme semble revenu. Puis entre Toulon et Marseille, «des jeunes commencent à parcourir les wagons pour éviter les interpellations». L'un d'eux lance à Frédéric posté au mauvais endroit, «bouge de là sinon je te casse la tête». Il raconte aussi avoir vu un jeune «s'approcher, fouiller dans une poubelle et récupérer un couteau».

mercredi, janvier 04, 2006

c'est ça la France!

d'après lefigaro.fr

EMBARQUÉS avant l'aube à bord du train numéro 17 430, quelque six cents voyageurs ont effectué dimanche dernier un sidérant voyage entre Nice et Marseille. Trois heures durant, ils se sont en effet trouvés à la merci d'une centaine de jeunes qui, selon les forces de l'ordre, ont pris le contrôle de la rame pour se livrer à de multiples dégradations avant de piller, et même d'agresser sexuellement certains d'entre eux.



Le spectaculaire détournement de train, dont les détails n'ont curieusement été révélés qu'hier après-midi par le parquet de Draguignan, s'est noué vers 6 heures le 1er janvier. Un long silence qui conduit à s'interroger sur le niveau d'information et l'action des pouvoirs publics au cours des quarante-huit dernières heures.La situation s'est brusquement dégradée


Ce dimanche matin, il y a foule, en gare de Nice, lorsque les dix voitures du Corail en partance pour Lyon via Marseille s'ébranlent le long du quai. «Comme nous le faisons habituellement pour sécuriser les trains aux lendemains de fêtes, nous avions demandé à la police d'être présente, tandis que quatre agents de la sûreté générale prenaient place à bord, explique Alain Zalesky, chargé des questions de sécurité au bureau régional de la SNCF. Mais rien, hormis l'euphorie de circonstance, ne laissait à cet instant présager ce qui allait se passer.»


Selon les gendarmes du Var, c'est après le passage en gare de Saint-Raphaël, où s'achevait la mission des policiers, que la situation s'est brusquement dégradée. Un groupe d'une centaine de jeunes des Bouches-du-Rhônes et du Vaucluse, descendus la veille pour réveillonner sur la côte d'Azur grâce au tarif spécial nouvel an à 1,20 euro mis en place par la SNCF, a commencé à s'agiter. «L'émulation aidant, raconte un militaire, certains ont décidé de racketter les voyageurs, dérobant ici un lecteur mp3, là un porte-monnaie ou un téléphone portable. C'est alors que tout a dérapé, lorsque deux groupes au moins s'en sont physiquement pris aux passagers, commettant des vols avec violence et des agressions sexuelles sur deux jeunes femmes âgées d'une vingtaine d'années, qu'ils ont ensuite menacées de mort pour les dissuader de parler.»


Le premier acte du voyage a pris fin en gare des Arcs lorsque le conducteur a stoppé le train pour faire appel à la gendarmerie, qui a aussitôt dépêché trois hommes sur place. «En montant à bord, nous avons découvert des voyageurs prostrés qui n'osaient pas intervenir, raconte l'un d'eux. Les jeunes s'étaient pour la plupart regroupés dans un wagon de première classe, maculé de vomi, aux rideaux lacérés, aux portes retirées de leurs gonds.»

Bientôt épaulés par une vingtaine de collègues, les militaires ont peu à peu investi le train, sans affrontement direct avec les fauteurs de troubles, bloquant pendant une heure et demie le trafic entre Marseille et Vintimille. Dans l'intervalle, les victimes d'agressions ont été encouragées à témoigner mais seules trois d'entre elles ont accepté de porter plainte pour des faits de vol et d'agression sexuelle : une étudiante de Besançon âgée d'une vingtaine d'années ainsi qu'un couple originaire de la région parisienne. Guidés par leurs déclarations, les gendarmes ont interpellé un mineur – remis depuis lors en liberté – ainsi que deux hommes qui habitent la région d'Avignon : Aziz Ed Doubia, né au Maroc, et Ashraf Bouzizoua, qui se trouverait en état de récidive légale. Ceux-ci ont été placés en détention hier à la maison d'arrêt de Draguignan en attendant leur comparution devant le tribunal de Draguignan, le 6 mars prochain.


«Le calme revenu, et faute de témoignages nous permettant de placer davantage de monde en garde à vue, nous avons décidé de laisser repartir le train en y plaçant une quinzaine d'hommes pour rassurer les passagers», raconte-t-on à la gendarmerie des Arcs. Arrivé en gare de Toulon, le convoi a ensuite embarqué à son bord une équipe de policiers avant de repartir. Et d'être le théâtre de nouvelles dégradations. «Si aucun de nos contrôleurs n'a été agressé, il apparaît que le signal d'alarme a été tiré à trois reprises au moins sur le chemin de Marseille, où des jeunes se sont brusquement enfuis en lançant des morceaux de ballast sur les voitures», explique Alain Zalesky. Trois d'entre eux ont alors été interpellés. Informée de cette équipée, la direction de la SNCF a décidé hier de porter plainte.


Au siège, on estime à ce stade que «si on a laissé le train repartir, c'est que toutes les conditions de sécurité étaient réunies».

Mais SUD-rail déplorait hier que l'opération Billets à prix réduit de la SNCF n'ait pas été accompagnée de mesures de sécurité suffisantes. «L'expérience des années précédentes montrait que des problèmes importants avaient eu lieu», rappelle le syndicat.

mardi, janvier 03, 2006

la fin de l'état d'urgence



Jako a mis fin a l'état d'urgence qui avait débuté le 8 novembre 2005 pour demain.
C'est une bonne nouvelle, non ?

lundi, janvier 02, 2006

it's over

Le lundi le plus noir de l'année vient de tomber. Les vacances de nöel sont terminées. J'ai réussi à m'auto-anesthésier pour ne pas réaliser cela. La nouvelle du jour qui m'a le plus interpellé: Les Comités d'Entreprises doivent avoir au moins 40% de femmes sinon l'entreprise risque des sanctions pouvant aller jusqu'au démantèlement (sic!).

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