Le prix du confort

Je lisais ce matin dans le journal métro un article sur un canadien qui a observé le système social français. ses conclusions sont terrfiantes, surtout dans la situation où je suis: il affirme qu'un poids de plus en plus lourd pèse sur les plus démunis tandis que les privilégiés se voient offrir une vie de plus en plus confortable. Si l'on imagine les travailleurs comme participant à une course, les états unis font courir presque tout le monde ou du moins une majorité tandis que les français laissent de plus en plus de gens sur le bord de la route, ce qui expliquerait la fameuse productivité française malgré les 35 heures...

C'est terrible, car je comprends que ma précarité a été faite pour que par exemple une prof de science nat puisse vivre telle une bobo dans "le plus beau pays du monde"...C'est un peu les theories de l'allemagne des années 40...