méfiez vous des loosers

La société essaie de donner de celui qui échoue une image de type sympa. Pour moi, il n'existe pas de type sympa, il n'y a que des gagnants ou des perdants et ces derniers sont souvent capable des pires choses lorsqu'ils échouent. Alors, arrétez de trouver des excuses à ceux qui vous font du mal parcequ'ils vous disent qu'ils sont malheureux, je m'adresse ici en particulier aux femmes mais aussi à tous ceux qui s'estiment victimes d'un 'porc'!

j'ai tout faux

J'ai toujours cru que le problèmes venaient des "autres", or le problème-s'il y en a un- est en moi.
Je suis tombé dans le piège de la pensée sans nuance, de la peur excessive, alors qu'il n'y avait rien, tout était dans mon imagination...
Je n'ai jamais su rester zen, cool comme on dit.
J'ai ainsi attiré toutes les foudres et maintenant que je le comprends j'espère qu'il n'est pas trop tard pour me sauver...

las de tous

Plus rien ne m'intérresse dans cette existence. Je me pose la question de l'utilité de rester sur cette terre qui se porte très bien sans moi. Je ne veux pas tomber dans le piège du Mal. A quoi cela sert il de laisser la trace de quelqu'un qui après avoir passé une vie à peu près normale fini par complètement péter les plombs ? D'abord cela ne m'apporterai rien, ensuite je vaux quand même plus que cela...Il me semble avoir un rôle plus important...
La raison de cette détresse ? la fin d'un cycle de ma vie qui se fini comme toujours par un échec...
Pourquoi est ce que je n'arrive jamais à créer quelquechose de POSITIF ?

se trouver une planque

En ces temps de guerre de l'emploi , qu'est ce qui est vraiment important ? On est trop nombreux sur cette terre mais personne n'ose l'avouer franchement. Alors moi je vais vous dire ce que l''on' veut: Il faut supprimer un maximun de monde (disons 80 %) afin que les 20 % restant aient le maximum de bonheur

l'illusion perpetuelle

La vie m'a d'abord mis en présence de la perfection pour tout m'enlever de manière très brutale. Que ce soit en Amour ou professionnellement, j'ai d'abord cru avoir obtenu le meilleur et un beau jour tout disparait au point que je me demande aujourd'hui si tout cela n'a pas été qu'un rêve destiné à rendre le présent encore plus insupportable...
Il ne me restait qu'à contempler ma déchéance, ma mort lente...
A 28 ans, je me posais des questions du style: "Quel est le meilleur moyen de me suicider ?" "Vais je atteindre les 30 ans ?" "N'y a -t-il aucune autre solution que le suicide ?"
Je découvrais alors un nouveau crime,que l'on pourrait qualifier de crime parfait: Pousser l'autre au suicide...
Des milliers de jeunes et de moins jeunes ont subi cela et parfois l'issue a été beaucoup plus dramatique que dans mon cas.
Eux même n'ont peut être pas compris ce qui leur arrivait, ce qu'on leur faisait et ils ont pensé que la mort volontaire était la seule solution...
Qui s'interressera réellement à ce phénomène car si la mort est triste lorsqu'on est agé, elle est néammoins dans l'ordre des choses, tandis que la mort de quelqu'un qui n'a rien construit est intolérable ?

rien n'arrive par hasard

Je réalise que tout ce que je vis a été fait pour me mettre face à un choix fondamental: faire le Bien ou faire le Mal.
Quelle est la meilleure solution ? La première et voici l'explication:
A partir du moment où autrui peut me faire subir ce que je peux lui faire subir, si nous nous entendons tous pour ne pas causer du tort aux autres, le monde sera plus agréable à vivre.
En revanche si je choisis de nuire, je prends le risque qu'on me fasse la même chose et en prime je 'gagnerai' un sentiment de culpabilité...
Et avec la culpabilité et la souffrance on ne va pas très loin...

Pourquoi est ce que j'attire le négatif ?

J'ai toujours préféré la tristesse à la joie, je me suis toujours senti plus à l'aise dans un enterrement que dans un mariage! Comme si le malheur étéait ma patrie...
Quand je suis rentré dans les classe préparatoires, celles ci perdaient de leur prestige, quand j'ai réussi un concours d'enseignement je n'ai pas été titularisé...
Que voulez vous faire d'une vie comportant de tels chocs, une telle dérision. Par contre quand j'ai voulu me détruire, j'ai réussi à retrouver une silhouette de "jeune premier" en perdant du poids!

Que faire ?

Que faire lorsqu'on ne comprend ses erreurs que trop tard ? Pourquoi est ce que quand je décide enfin d'agir, il est déjà trop tard et la viellesse m'empêche de réaliser ce que je désire ? Que faire lorsqu'on ne peut plus récupérer ce que l'on a perdu ? Comment enlever ces regrets éternels ?
Suis je condamné à culpabiliser pendant tout le temps qu'il me reste à vivre ?
Suis je condamné à ne créer sur cette terre que le Malheur et la désolation ?
Quand pourrais je enfin vivre sans penser au passé ?

ne jamais avoir de rêves...

Dans ma vie, tout ce dont j'ai rêvé, s'est trouvé gâché simplement à cause de la déception que j'ai eu lorsque j'ai découvert la réalité de ce que j'avais imaginé...
Tout est sali à cause de ce que j'appelerais la "saloperie humaine". Dans chaque humain, il sommeille une volonté de vous nuire, de vous détruire et ma culpabilité naturelle m'empêchait de réagir à ces attaque que j'essayais par tous les moyens de nier...
Finirais je inéluctablement par me suicider comme Madame Bovary ? Est ce le lot de tous les gens qui refusent de transmettre le Mal ?

un monde de fou...

Je réalise à quel point l'être humain dont la gloire était d'avoir triomphé des autres espèces animales n'a rien su faire d'autre que de recréer de la bestialité!
Notre société moderne est dominée par des comportements d'une cruauté dont la plupart des bêtes ne seraient pas capables, ou en tout cas elles ne réalisent pas ce qu'elles font alors que l'Homme est la seule espèce capable de faire le Mal en sachant ce qu'il fait...
S'il y a un Dieu sur cette terre, qu'il nous vienne en aide....
Sinon, je tremble à l'idée de vivre dans un monde dans lequel je ne trouve plus de sens...

Juste une (petite) mise au point

Où en suis je arrivé dans ma compréhension de ce monde (de fou ) ? D'abord que je ne maitrise pas mon destin, tout se passe comme si je n'étais qu'un engrenage dans une machine dont je ne connais pas les intentions. Mais je peux deviner que ce que je veux n'est pas ce que veux cette "entité". Tout se passe comme si elle voulait me mettre face à des contradictions, des paradoxes afin que je modifie mon comportement. L'enjeu est il purement reproductionnel ou y a-t-il une notion de Bien et de Mal à l'issue de tout cela, une sorte de jugement final ?

pourquoi ?

Comment ai je pu en arriver là ? Suis je destiné à être le symbole d'une jeunesse kleenex que l'on bizute dans cette France post soixantehuitarde ?
Entendrais je un jour le chef de l'état dire "Cher... " comme il a dit "Cher Zinédine" après la finale du mondial de football 2006 ?
Je pense qu'il ne faut pas trop rêver...
Mais je crois avoir compris que l'erreur fondamentale que nous-les jeunes-commettons: Nous sommes divisés.
On monte les banlieues contre les jeunes des quartiers chic, on monte les jeunes sans diplômes contre les Bac+5, etc...

je n'ai rien compris à la vie

Plus le temps passe et plus je m'aperçois que je n'ai jamais rien compris à la vie. Quand il fallait s'entrainer à séduire les filles je cherchais à être le premier de la classe. Au contraire dès qu'il fallait se mettre à travailler pour me faire une place sociale, je ne pensai qu'aux filles...
Je me suis intéressé jeune à des choses de vieux et maintenant que je suis trop vieux, j'essaie de rattrapper ma jeunesse...Mais il est trop tard...

la dernière ligne droite

A ce stade avancée de la fin des vacances scolaires je n'ai plus envie de partir en voyage...Mais peut être qu'un événement exterieur me poussera à partir qui sait...
Est ce intelligent car le problème est que je risque de ne pas avoir l'énergie de reprendre ?
Je réalise que ma vie est faite d'un mélange de crises, de mauvaises surprises et surtout d'illusions, illusion de croire que ma place était réservée dans cette guerre de l'emploi que nous vivons actuellement, illusion de croire que je serai jeune éternellement, illusion de croire que je ne peux pas mourir...

jeté en pature aux chiens

Après avoir perdu ma place dans cette société qui n'aime que les gagnants, j'ai le sentiment que ma seule destinée est désormais d'être une proie...
N'y a-t-il plus aucun espoir pour celui qui n'a pas de grade sur cette terre ?
Le seul rôle que je me trouve désormais est de raconter ce qui m'est arrivé, raconter l'innomable.
S'il est normal après une scolarité brillante d'être envoyé à la morgue ou dans un hôpital psychiâtrique (voire pire) alors je ne sais plus quoi dire...

septembre noir

Dans 15 jours je vais devoir affronter tous mes démons...
J'étais d'abord seulement inapte pendant la période des vacances et je suis maintenant inapte à la fois dans le monde professionnel et dans les relations humaines...
J'en suis au point de ne plus supporter de voir un couple dans la rue...
Cette Haine est proche de celle qu'a décris Nietsche dans son oeuvre, la Haine des gens qui réagissent et qui n'agissent point...

y a qu'à toi que ça arrive

combien de fois ai je entendu cette phrase "y a qu'à toi que ça arrive" et combien de fois je me le suis dit à moi-même ? Vraiment je ne maitrise plus rien, je suis arrivé dans ma vie à tout l'inverse de ce que je voulais...
C'est le blocage complet, je ne sais plus où aller, où me réfugier.
Il ne me reste que mon imaginaire, la réalité m'a trahi.
Que dit on classiquement dans ces cas là ? A l'aide, non ?

nous sommes de passage...

Cette nuit j'ai réalisé le caractère éphémère de la vie...Nous sommes vieux avant même d'avoir compris pourquoi nous sommes sur cette terre. Pourquoi suis je sans cesse en conflit avec moi même ? Comment ai je pu un moment être persuadé que le suicide était la meilleure solution alors que la vie est si précieuse ? Pourquoi est ce que j'arrive toujours à transformer le bien le plus précieux en cauchemar ? Pourquoi est ce précisément quand je suis persuadé que tout est fini qu'un élément nouveau arrive dans ma vie ?
Je ne maitrise rien de mon destin, c'est comme ci quelqu'un d'autre tenait les manettes...

une nouvelle vie

Je me sens comme quelqu'un à qui on aurait donné une seconde chance. Un nouveau physique, une nouvelle sensibilité...Mes rapports avec les gens ont complètement changé...
Je suis devenu quelqu'un d'autre...
Bien sûr j'ai des traces de mon ancienne personnalité, mais en les acceptant elles ne se manifestent pas trop...
C'est bizarre peut être faut il que je profite sans me poser trop de questions...
Un de mes gros problèmes est que je reste souvent sur ma dernière impression, je n'aime pas beaucoup voir les changements sauf bien sûr quand ils me sont favorables...

Carole

Hier, j'ai fait la connaissance d'une mystérieuse femme de 36 ans, c'est drole car le courant est tout de suite passé entre nous, un peu comme avec Nathalie qui vivait à la Roche sur Yon que j'avais connue en avril 2002...
J'espère néammoins que cela durera plus qu'avec Nath avec qui je n'ai pas pu passer les vacances d'été...

le coté obscur de chacun

Cela fait plusieurs fois que j'entends dans les émissions de télé réalité les expressions 'coté sombre', 'face obscure' à propos d'une personne. Effectivement nous ne nous comprenons réellement que lorsque nous comprenons que nous avons tous en notre personnalité quelquechose que nous même ne pouvons pas accepter, supporter...
Laquelle de ces deux parties triomphera en nous ? Telle est la question...

coupable de ne pas voir

Je réalise que je suis coupable de ne pas voir le Mal, de ne jamais en faire assez pour enlever un peu de souffrance de ce monde...
Le problème est que cette souffrance me fait trop souffrir, j'ai du mal à accepter que cela soit possible..
Une guerre s'est déclarée, une guerre qui ne veut pas dire qu'elle est une guerre, une guerre qui ne veut pas dire qui sont ceux qui se combattent...

l'argent maître du monde

Attention, Post pessimiste:

Quel est ce pays où le manque d'argent est pire que la maladie, pire que la mort au point que ceux qui n'ont pas d'argent préfèrent se suicider plutôt que de supporter les humiliations dûes à la pauvreté ?
Ainsi un retraité même avec des maladies incurables sera plus heureux et méritera plus de vivre dans cette société que nous avons créée qu'un homme en pleine santé mais qui n'aurait pas d'argent ? Comment peut on accepter de telles idées ?
On dit que ce sont les clients qui poussent les femmes à la prostitution, je veux bien croire que c'est vrai en partie mais n'est ce pas plutôt le manque d'argent de ces femmes qui les pousse à cela ?
Nous avons fait de l'argent notre Dieu et donc celui qui en manque joue le rôle de Satan et se sentira le droit voir le devoir de faire le Mal...
C'est horrible mais notre société occidentale à elle même fabriqué les maux par lesquels elle se mourra...

méfiez vous de vos amis (2)

Lors d'une soirée chez des amis, j'ai évoqué le fait que j'avais passé une partie de mes vacances au mois de septembre. Un couple a prété attention à ce que j'ai dit et devinez quand ils partent en vacances cette année ? En septembre!
J'ai bien senti que cela leurs faisait envie, mais je l'ai un peu vécu comme un petite trahison, comme s'il et elle voulaient s'approprier une partie de mes habitudes...

un pays où rien ne change

On semblait découvrir la fracture sociale en 1995, mais en y réfléchissant un peu, celle-ci a toujours existé en france, quelque soit l'époque. Du temps de l'ancien régime il y avait aussi une fracture sociale! Voilà je viens de me faire cette petite réflexion de beau matin car je m'ennuie mortellement alors j'essaie d'avoir quelques pensées bien senties pour me prouver-s'il était besoin de le faire-que j'ai bien ma place dans ce pays et sur cette terre...

remettre en cause les choses établies

Je pense que l'on ne peux plus continuer comme cela dans ce pays. Il y a beaucoup de gens dont le seul intérêt est que rien ne change. J'ai fait parti de ces gens là mais un beau jour un "accident de la vie" m'a forcé à ne plus pouvoir vivre comme je l'avais rêver...
Ce qui parait normal, banal, ne doit justement plus sembler immuable, il faut insuffler de nouvelles valeurs dans notre société qui sinon court droit à l'explosion...
Après avoir dit cela, il faut désormais avoir le courage d'agir et c'est là le plus difficile...

Seul enfin seul...Et après ?

Mon orgueil démesuré me pousse à rester à l'écart des autres. Suis je plus heureux pour autant ? J'aimerais être différent mais je suis dépourvu de sensibilité émotionnelle...Alors plutôt que de blesser stupidement mes semblables, il vaut peut-être mieux pour moi que je m'investisse dans des domaines où j'ai de plus grandes capacités...

20 bières en 2 jours

Entre jeudi et vendredi, j'ai ingurgité 20 bières...Je voulais oublier mais une fois de plus j'ai obtenu l'inverse de ce que je désirais au départ (je dirais même que ça devient mon mode de fonctionnement). Je redeviens sombre, triste, mélancolique...Cela peut sembler romantique mais c'est très douloureux et ça me fait perdre beaucoup d'énergie...
Je me sens trahi par ceux qui me semblaient le plus proche de moi, j'ai oublié ce qu'était un bulletin de paie, une relation de travail, une vie normale...
Et pourtant je suis enfin seul, je devrais pouvoir profiter un peu de cette sérénité. Et bien non, je préfère me torturer moralement, physiquement même...
Y a-t-il quelquechose que je n'ai pas compris sur cette terre ? Combien de temps dois je souffrir encore et jusqu'où puis je tomber dans la déchéance ?

Réponses dans un prochain post!

positiver!

Devant la mélancolie de mes deux précédents posts (il est drôle de remarquer que je ne me rappelai pas aujourd'hui de ce que j'avais écrit hier) j'ai pris la résolution de ne plus me laisser submerger par mes émotions. Je choisis donc de toujours préférer la rationalité à un mode de pensée basé sur mes états d'âmes.

mourir pour ne plus souffrir

La société ne veut plus m'entendre, ma famille ne veut plus m'entendre, moi même j'ai du mal à me supporter. Je ne supporte plus ce mal être cette souffrance, ce qui m'arrive n'a pas de sens. Pourquoi ? Pourquoi dois je mourir à chaque fois ? Je n'ai rien connu de la vie et l'on veut déjà m'ôter tout espoir...

feux de détresse

Je suis dans un état d'insécurité et de stress maximal...
J'essaie de me le cacher à moi même mais je souffre au plus haut point, hier en voyant une photo de moi je me suis fait peur...
Et la peur c'est justement le point principal, car je suis terrifié de voir ce monde qui devient fou, qui sacrifie les plus faibles pour que les plus aisés puissent avoir le maximum de confort...
J'ai l'impression que plus je souffre, plus quelqu'un d'autre sur la planête a du bohneur, une sorte d'effet papillon ou le psychologique aurait remplacé le temps...

ma situation à ce jour...

Je profite que j'ai l'esprit tranquille aujourd'hui pour faire le point de ma situation à ce jour...
1) Du point de vue de mes études et professionnellement c'est le noir total
2) Au moins deux personnes veulent ma peau
3) j'ai sur mon compte courant environ 1500 euros

D'une manière plus générale, il y a certains principes dans la vie:

1) Les miracles sont rares

2) En principe les choses n'arrivent pas par hasard, ce que l'on appelle des coïncidences ne sont justement pas tant des coïncidences que cela:

a) Si comme par hasard, on me dit "ça ne va pas, car (RAISON alpha)" au dernier moment, il ne faut pas être dupe, je suis dans la position de quelqu'un qui se serait jeté par la fenêtre et qui tant qu'il n'a pas touché le sol se dit: "jusqu'ici tout va bien,..."

b) Je pense à ce reportage sur John John Kennedy qui a perdu sa mère à 33 ans et est mort 5 ans après...Pourquoi ai je vu ce reportage ? Est ce un hasard ? Une coïncidence ?

3) Je suis en face d'un choix: Ou bien je compte sur une année suppléméntaire d'étude et je profite de la fin de mes vacances, ou bien je trav.... (je n'arrive pas à prononcer le mot!)

4) Le passé renseigne sur l'avenir:

a) Dans un conflit, je ne sort jamais gagnant

b) Plus je crois que quelque chose est sûr et plus une sorte de démon intérieur jubile à me le faire perdre

c) Je suis un perdant né


Conclusion de tout cela:
Deux écueuils à éviter, qui sont les fruits du désespoir:
1) Le suicide: fuite et lacheté.
2) Tomber dans le traquenard que me tendent mes ennemis, à savoir me pousser à la faute par leurs provocations incessantes.

j'veux pas mourir à 30 ans

Attention post un peu morbide...

A 20 ans j'avais le profil du timide maladif, à 16 ans encore pire. En général ce genre de personne ne sont pas faite pour survivre dans notre monde d'image et de communication. J'ai failli mourir à 30 ans et tout le monde s'en fichait. Désormais je vivrais rien que pour emmerder ceux qui veulent que je crêve!
C'est peut être d'ailleurs à cause du fait que précisément je veux vivre que je n'en ai plus pour longtemps...